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1893-2023 : 130 ans de découvertes et d’innovations. Rétrospective Chauvin Arnoux !

Certainement le plus ancien fabricant d’appareils de mesure par procédé électrique/électronique, Chauvin Arnoux continue de consacrer 7 à 11 % de son chiffre d’affaire en R&D. Hier, à l’origine, les mesures électriques nécessitaient un galvomètre à aimant mobile ou à cadre mobile (invention de Johan Schweigger en 1820), soit en lecture directe, soit en méthode de Poggendorff (galvano de zéro). Les galvomètres à aiguilles sont remplacés par des mesures numériques dans les années 70, puis tout s’enchaîne... René, André, Daniel, Axel Arnoux..., des hommes de création et de transmission !

 

 

Création en 1893 de l’entreprise par deux co-fondateurs René Arnoux et Raphaël Chauvin. L’entreprise porte toujours leurs deux noms. Dès 1918, sous l’impulsion du fils, André Arnoux, le Contrôleur Universel, ancêtre de l’actuel multimètre, l’Ohmmètre à magnéto, les IS et le Posemètres photo–électrique sont conçus. De 1928 à 1939, le développement industrielle de la société donne naissance à la pince transformateur, le Phimètre, les wattmètres et en 1940, des Bureaux d’étude de Chauvin Arnoux émergent les contrôleurs portatifs (Monoc en 1959 et Cellophot), régulateur de température et relais de coupure. De 1893 à 1979, l’utilisation des matériaux nobles pour les appareils de mesure à l’avènement du plastique robuste ! L’ébène, l’ébonite, le marbre, le laiton et le verre rythme au début du XXème siècle la conception des appareils de mesure aujourd’hui véritables pièces de collection et de musée. Lourds, beaux, fragiles et à aiguilles, ils ont la couleur jaune du laiton et noir de l’ébonite, couleurs qui deviendront les couleurs identitaires du logotype CA d’entreprise.


Les moulages thermodurcissables et la tôle d’acier embouti apparaissent dans les années vingt et remplacent les matériaux nobles. Les métiers de Chauvin Arnoux évoluent ; de la menuiserie à l’atelier de tôlerie et de presse mécanique. Avec les années 50, l’utilisation du duralumin embouti et du moulage thermoplastique allège les appareils et nécessite la création d’atelier spécifique de moulage. La technologie des appareils Chauvin Arnoux : véritable conception d’orfèvrerie. Au tout début, le cuivre est à l’honneur dans les appareils de mesure ; les câblages et le bobinage. Le fer magnétique est utilisé pour les cadres et circuits magnétiques. Le galvanomètre ferromagnétique utilise des palettes de fer doux à l’intérieur d’une bobine.


Le relais est lui composé d’un électro-aimant qui transmet aux contacts, une fois alimenté, et assurent la commutation électrique. Les années soixante voient l’arrivée des composants actifs avec les transistors et les seventies des premiers circuits intégrés. Les circuits imprimés de 1962 remplaceront le câblage des composants actifs ou passifs par fils isolés. Aujourd’hui, les pinces (lien pince F400/600), contrôleurs (lien CA6161/6163), testeurs, analyseurs de réseaux(lien qualistar) de Chauvin Arnoux, les régulateurs de température et puissance (lien Thyritop) de Pyrocontrole et les relais d’automatisme (https://www.chauvin-arnoux-energy.com/fr/applications/le-nucleaire-nous-fait-confiance-depuis-40-ans ) de CA Energy sont issus de la lignée des inventions et brevets déposés, du travail des équipes des bureaux d’études aujourd’hui au nombre de 8 dans le monde.


L’ère des nouvelles technologie a sonné et la mesure par fluorescence, l’infrarouge et la spectroscopie gravitent autour de la mesure électrique dans les process on-line et industrie 4.0.